Building Capacity in Pacific Island Heritage Management: Lessons from Those Who Know Best

Abstract

In recognition of the need to build capacity in heritage place management in the Pacific in 2004, UNESCO funded the development of the CD-ROM training program Conserving Pacific Places. The program attempted to address the lack of sustainable long-term outcomes from previous training programs ‘field-tested’ by Pacific Island heritage managers. This not only provided feedback on modifications to the Australian training model required to make it appropriate and useful in the Pacific Island context but gave voice to shared regional issues and concerns in Pacific Island heritage conservation through the writing of the Niue Communiqué (2004).

Resumen

En reconocimiento de la necesidad de construir un lugar de la administración de la herencia en el Pacifico en 2004, la UNESCO fundó un programa de entrenamiento para el desarrollo de un CD-ROM: Conservando los lugares del pacifico. El programa intenta abordar la falta de un resultado sostenible a largo plazo de los programas de entrenamiento anteriores. Esto no solo provee comentarios en las modificaciones del modelo de entrenamiento de Australia requerido para que sea útil y apropiado en el contexto de la Isla del Pacifico y da la posibilidad de compartir asuntos regionales que conciernen a la conservación de la herencia de la Isla del Pacifico a través de los escritos de Niue Communiqué 2004.

Résumé

Le projet Qhapaq-Ñan fait la promotion de l’intégration de valeurs culturelles partagées par six pays: l’Argentine, le Chili, la Bolivie, le Pérou, l’Équateur et la Colombie. Ces pays collaborent présentement à la possibilité de faire reconnaître la principale route des Andes, connue sous le nom de « Qhapaq-Ñan », sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO. Malgré le fait que les participants considèrent que ce projet est principalement profitable aux les communautés locales et autochtones, et alors que les travaux archéologiques sont déjà entamés, les communautés associés à cette route n’ont pas été impliqué dans ce projet. Suivant les lignes directrices du Congrès mondial de l’archéologie ainsi que l’emphase sur la participation des communautés prônée par de nombreux spécialistes du patrimoine, nous insistons sur le changement de cette dynamique au profit d’un programme développé conjointement avec les communautés concernées dès le début du projet et non dans une étape subséquente, ou (encore pire), lorsque le projet à déjà pris forme.